
Cette fois, il ne fait pas seul le voyage, mais il est accompagné avec grande sensibilité par le maître percussionniste indien Ramesh Shotham, le joueur d’oud et du guembri marocain Majid Bekkas - leur duo a émerveillé le public dans leur projet «Two Roots of Desert Blues» - , ainsi que par le légendaire musicien arménien Djivan Gasparyan avec les douces sonorités du doudouk.
« Les nomades sont comme des oiseaux migrateurs dans le soleil couchant : liés au passé, leur futur est plus loin. » Cette devise d’Abaji correspond parfaitement à ce passionnant projet.